L’ancien chef de l’Etat, soupçonné d’avoir « noué » avec le dictateur Mouammar Kadhafi un « pacte de corruption » afin de s’assurer de son soutien financier lors de la présidentielle de 2007, comparaît à partir de ce lundi 6 janvier devant le tribunal correctionnel de Paris aux côtés de onze autres prévenus. Jugé pour corruption, recel de détournement de fonds publics, financement illégal de campagne et association de malfaiteurs, il encourt dix ans de prison.

Documentaire par Yannick Kergoat, avec Fabrice Arfi, Karl Laske (France, 1h43). En salle le 8 janvier ★★★☆☆

Les avocats de l'ex-chef de l'Etat et de son ancien ministre considerent que les faits qui leur sont reproches relevent de la Cour de justice de la Republique.

Le procès du financement libyen présumé de la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy vient de s’ouvrir pour quatre mois dans une ambiance tendue. L’ancien président y est jugé notamment pour « corruption et association de malfaiteurs ». Il s’agit de son cinquième procès en cinq ans.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres, dont Claude Guéant et Brice Hortefeux.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres, dont Claude Guéant et Brice Hortefeux.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres, dont Claude Guéant et Brice Hortefeux.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres, dont Claude Guéant et Brice Hortefeux.

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Affaire Kadhafi: Brice Hortefeux, ancien ministre sous Nicolas Sarkozy, est arrivé au tribunal de Paris  BFMTV

Soupçons de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy : ouverture du procès devant le Tribunal correctionnel de Paris  Le Club des Juristes

L’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine est l’un des prévenus du procès portant sur les soupçons de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime Kadhafi dans lequel l’ancien chef de l’Etat comparaît, à partir du lundi 6 janvier, notamment pour corruption.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît à partir de lundi aux côtés de trois anciens ministres, dont Claude Guéant et Brice Hortefeux. Pour comprendre les ramifications de cette affaire, Anne-Aël Durand et Maxime Vaudano répondront à vos questions à partir de 11 heures.

Poursuivi notamment pour « corruption » et « association de malfaiteurs », l’ancien président comparaît depuis lundi. Pour quatre mois, il doit répondre d’accusations de financement illégal de sa campagne de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi.

L'ex-president de la Republique a retrouve son ancienne garde rapprochee (Brice Hortefeux, Claude Gueant, Eric Woerth...), au tribunal correctionnel de Paris ou s'est ouvert ce lundi leur proces.

Soupçons de financement libyen : le procès de Nicolas Sarkozy s'est ouvert ce lundi à Paris  ici, le média de la vie locale

Soupçons de financement libyen : le procès de Nicolas Sarkozy s’est ouvert à Paris  Ouest-France

Les treize prévenus risquent tous dix ans d’emprisonnement, sauf Eric Woerth. De lourdes peines d’amende sont également encourues, qui peuvent être aggravées en cas de condamnation pour blanchiment jusqu’à la moitié des fonds blanchis.

Un ancien chef d’Etat, trois anciens ministres de droite Douze hommes sont jugés à partir de ce lundi devant le tribunal correctionnel de Paris.Après dix ans d’enquête, la justice se penche enfin sur l’affaire du financement libyen de la campagne préside

Campagne de Sarkozy en 2007: le procès du «financement libyen» s’ouvre à Paris  Le Figaro

Soupçons de financement libyen : Nicolas Sarkozy jugé à partir de ce lundi à Paris  Ouest-France

L’ancien président de la République est accusé d’avoir noué un « pacte de corruption » avec Mouammar Kadhafi en vue de financer sa campagne présidentielle de 2007. Parmi les douze autres prévenus de cette affaire à tiroirs, trois anciens ministres, Brice Hortefeux, Claude Guéant et Eric Woerth, un ex-dignitaire libyen et les intermédiaires Ziad Takieddine et Alexandre Djouhri.