68 h. ago  TRIPATOUILLAGE DES FINANCES PUBLIQUES SOUS L’ANCIEN RÉGIME – Cheikh Diba se lave à grande eau !

La loi de finances rectificative a été une vraie opportunité … The post

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68 h. ago RELANCE DE L’ÉCONOMIE – La Loi de finances rectificative ouvre la nouvelle feuille de route

L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi n°11/2025 portant … The post

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3 d. ago Polémique sur le port de l’écharpe palestinienne à l’Assemblée nationale : Le député Saliou Ndione précise sa position

Après avoir arboré une écharpe en soutien au peuple palestinien lors de la plénière sur la Loi de finances rectificative (LFR)...

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3 d. ago Véhicules des députés, passeports : Les explications de Cheikh Diba sur les dépenses controversées

Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a fait face aux députés ce samedi à l’occasion de la présentation de la loi de finances rectificative (LFR 2025), laquelle a été adoptée dans la foulée. Ce moment d’échanges a permis au ministre de lever le voile sur plusieurs lignes budgétaires sensibles ayant récemment alimenté des controverses dans l’opinion publique. À commencer par l’acquisition de véhicules pour l’Assemblée nationale, l’acheminement des talons de passeport, les arriérés de paiement, ou encore les efforts pour la souveraineté alimentaire. Face aux interrogations insistantes des parlementaires, Cheikh Diba a tenu à clarifier plusieurs postes budgétaires qui ont fait couler beaucoup d’encre ces dernières semaines. Selon les informations rapportées par le journal L’As, le ministre a notamment précisé que le budget de l’Assemblée nationale n’a pas été alourdi dans le cadre de l’achat de véhicules destinés aux députés. « Une lettre de couverture budgétaire a été ém...

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3 d. ago Économie sénégalaise : Voici pourquoi le déficit budgétaire est en hausse et les recettes en baisse

La Loi de finances rectificative (LFR) 2025 intervient dans un contexte économique et budgétaire particulièrement tendu. Du moins, c’est l’analyse faite par le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, qui justifie le creusement du déficit budgétaire et la révision à la baisse des recettes publiques par une série de chocs exogènes, une reprogrammation du cadre macroéconomique, ainsi que par la découverte de charges non anticipées liées à la dette. Malgré une arrivée tardive de la LFR à l’Assemblée nationale, le ministre a souligné, selon L’As, que le document est le fruit d’un long processus de réajustement, mené dans l’urgence par les services techniques. « Pendant plus d’une semaine, les équipes ont travaillé jour et nuit pour intégrer ces évolutions dans le cadrage budgétaire », a assuré Cheikh Diba face aux députés. Il a précisé que la principale conséquence de cette reprogrammation est une révision à la baisse du Produit intérieur brut (PIB) de 907 milliards de francs CF...

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3 d. ago Signe de soutien à la Palestine : Recadré par El Malick Ndiaye, le député de Pastef contre

Une passe d’armes feutrée, mais révélatrice des tensions autour des libertés symboliques à l’hémicycle. Visé par une remarque du ministre de la Communication, El Malick Ndiaye, qui a suggéré lors de l’examen de la loi de finances rectificative (LFR) de ne plus arborer de signes distinctifs à l’Assemblée nationale, le député Saliou Ndione a tenu à clarifier sa position. Dans un communiqué relayé par L'As, l’élu s’est défendu d’avoir enfreint la loi ou porté atteinte à la solennité des institutions. Il estime, au contraire, faire partie de ceux qui souhaitent voir les institutions sénégalaises « décomplexées » et débarrassées des barrières qui, selon lui, peuvent constituer des entraves à la liberté d’expression. « Il y a des habitudes que nous héritons et qui ne sont pas forcément les nôtres », a-t-il argumenté. Pour étayer son propos, Saliou Ndione a évoqué le cas de l’Assemblée nationale française, où le port de signes distinctifs est interdit, mais où des députés ont bravé cette r...

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3 d. ago Abdou Mbow à El Malick Ndiaye : « Voici pourquoi vous devez pardonner Bachir Fofana »

L’emprisonnement du journaliste Bachir Fofana s’est invité dans les débats à l’Assemblée nationale, lors du vote du projet de loi de finances rectificative (LFR) 2025. La question a suscité des échanges tendus entre députés, révélant les lignes de fracture sur la liberté de la presse et l’usage du pouvoir judiciaire. En effet, comme le rapporte L’Observateur, le député Abdou Mbow a interpellé publiquement le président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, l’exhortant à retirer sa plainte, à l’origine de l’incarcération du journaliste. Dans une prise de parole directe, Abdou Mbow a plaidé en faveur d’un geste d’apaisement : « On diffame beaucoup de présidents d’Assemblée. Un de vos collègues a annoncé l’existence de primes de 100.000 francs et a décidé de porter plainte contre les présidents Amadou Mame Diop et Moustapha Niasse. Tout le monde sait que ces primes n’ont jamais existé. Et si on avait porté plainte contre lui, il allait se retrouver en prison. Donc vous devez pardo...

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3 d. ago Air Sénégal sous perfusion : Une belle fortune injectée par l’Etat du Sénégal en deux mois

Malgré les turbulences qui secouent Air Sénégal depuis sa création, les nouvelles autorités refusent de laisser tomber la compagnie nationale. C’est le message fort qu’a lancé le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, samedi dernier à l’Assemblée nationale, lors de l’examen du projet de Loi de finances rectificative adopté par les députés. Face aux parlementaires, l’argentier de l’État a révélé un soutien financier massif : 15,7 milliards de francs CFA injectés entre avril et juin 2025. Ce geste, affirme le ministre, est le reflet d’une volonté politique claire : sauver ce fleuron national en proie à de graves difficultés depuis plusieurs années. « Nous l’avons trouvée dans cette situation. En même temps que nous faisons face à d’autres difficultés, nous cherchons à la redresser », a déclaré Cheikh Diba, dans des propos relayés par Le Soleil. Depuis sa création en 2016, Air Sénégal peine à décoller durablement. En neuf ans d’existence, elle a connu cinq directeurs généraux...

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3 d. ago Cheikh Diba s’explique : « Pourquoi je ne suis pas responsable de la dette de 10 000 milliards de Macky »

Le ministre des Finances est passé, samedi, devant les députés pour défendre le projet de loi de finances rectificative 2025 (LFR). Accablé par les critiques portant sur l’endettement de l’État, Cheikh Diba a déclaré, sans ambages, que l’emprunt de 10 000 milliards de FCFA contracté en 14 mois de gestion ne relève aucunement de la responsabilité du nouveau gouvernement, mais bien de celle de l’ancien régime. Le débat a été particulièrement animé à l’Assemblée nationale. En session plénière, les discussions sur le projet de loi de finances rectificative 2025 ont surtout tourné autour de la question de la dette. Selon L'As, presque tous les députés présents ont interpellé Cheikh Diba sur l’origine de l’emprunt colossal de plus de 10 000 milliards de FCFA, contracté en seulement un peu plus d’une année. Face à cette vive interpellation, posée notamment par des parlementaires de l’Opposition, le ministre des Finances et du Budget n’a pas esquivé. « Les 10 000 milliards de FCFA ne relève...

Politics

3 d. ago Bourses de sécurité familiale : Le nouveau régime passe enfin à l’action !

Au terme du Débat d’orientation budgétaire (DOB), le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, est revenu sur la question de l’équité territoriale, notamment à travers la relance des bourses de sécurité familiale. Il a indiqué que la Loi de finances rectificative (LFR) prévoit une enveloppe de 13 milliards de francs CFA destinée à ce programme. Selon lui, un travail de mise à jour du Registre national unifié (RNU) est en cours, sous la supervision de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Cette mise à jour permettra, d’après ses propos relayés par Les Échos, de porter le nombre de ménages bénéficiaires à un million. Toutefois, Cheikh Diba a rappelé que le programme avait initialement été conçu pour s’arrêter en 2018, après cinq années de mise en œuvre. Il a ainsi posé une interrogation de fond : faut-il continuer à accompagner les mêmes bénéficiaires ou ouvrir le dispositif à de nouveaux ménages éligibles ? Concernant les finances locales et la déce...

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4 d. ago Loi de finances rectificative 2025 : Le projet adopté par les députés réunis en plénière

Les députés ont adopté le 28 juin 2025, le projet de loi de finances rectificatives. Selon le ministre des Finances et d...

Politics

4 d. ago Dette publique du Sénégal : Le Pr Amath Ndiaye dément l’endettement de 10 200 milliards FCFA en 14 mois

Une affirmation relayée ces derniers jours, notamment par des responsables de l’Alliance pour la République (APR), soutient que l’État du Sénégal se serait endetté à hauteur de 10 200 milliards FCFA en l’espace de 14 mois. Le professeur Amath Ndiaye, économiste à la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, rejette cette information. Après analyse des données contenues dans les Lois de Finances Rectificatives de 2024 et 2025, il affirme que ce chiffre est factuellement inexact. D’après lui, le déficit budgétaire cumulé sur cette période, c’est-à-dire la différence entre les dépenses de l’État et ses recettes, s’élève à 4 022,4 milliards FCFA. C’est ce montant qui correspond à l’endettement net, soit l’accroissement réel du stock de la dette publique. Le reste des emprunts a servi au refinancement, c’est-à-dire au remboursement de dettes arrivées à échéance, une pratique normale dans la gestion de la dette publique. En 2024, l’État a ét...

Economics

5 d. ago Loi de finances rectificative 2025 : 130 milliards FCFA de recettes en moins, l’Assemblée adopte le projet

C’est désormais officiel. L’Assemblée nationale a adopté, ce samedi 28 juin, le projet de loi n°11/2025 portant loi de finances rectificative pour l’année 2025, avec une large majorité : 126 voix pour, contre 11 voix contre et 2 abstentions, sur 139 votants, dont 10 par délégation. Ce vote intervient dans un contexte économique marqué par des tensions budgétaires et des arbitrages stratégiques. Le document, examiné en séance plénière, révise à la baisse les prévisions initiales de recettes et de dépenses de l’État, actant des ajustements majeurs dans les équilibres financiers de l’année en cours. Selon le rapport présenté par la commission des finances et du contrôle budgétaire, les recettes budgétaires sont désormais fixées à 4 884,3 milliards FCFA, contre 5 014,3 milliards FCFA dans la loi de finances initiale. Cela représente une baisse de 130 milliards FCFA, soit une contraction notable dans la capacité de mobilisation des ressources de l’État. Du côté des dépenses, l’effort d’a...

Economics

5 d. ago Pape Djibril Fall charge El Malick Ndiaye : « l’emprisonnement de Bachir Fofana porte votre empreinte »

En marge du vote du projet de loi de finances rectificative n°11/2025, le député Pape Djibril Fal... www.pressafrik.com

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5 d. ago LFR 2025 adoptée : le gouvernement revoit ses priorités face à la dette et revalorise ses engagements sociaux

L’Assemblée nationale a adopté ce samedi 28 juin 2025, le projet de loi de finances rectificativ... www.pressafrik.com

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5 d. ago Aïssata Tall Sall au MFB : « Les solutions que vous nous proposez pour trouver l'argent ne sont pas fiables »

Lors de la séance plénière sur la Loi de Finances Rectificative (LFR) 2025, la présidente du groupe parlementaire, Aïssata Tall Sall, a exprimé de vives critiques envers les propositions du Ministre des Finances et du Budget. Elle a relevé des incohérences concernant les recettes fiscales et la gestion du budget. « Vous prônez un maintien très faible du système et des fonds budgétaires, pour une augmentation des déficits et bien loin des critères fixés par notre communauté. Et dans tout cela, vous cherchez 1 140 milliards de francs entre la LFI et la LFR. Où trouvez-vous l'argent, Monsieur le ministre ? », a interrogé la députée, ajoutant que « les solutions que le ministre des finances propose pour trouver l'argent ne sont pas fiables ». Me Aïssata Tall Sall a poursuivi en détaillant ses préoccupations : « Pour trouver cet argent, vous dites : oui, nous allons recourir à la compression des dépenses. D'accord. Rationalisons les dépenses. Compressions-les. Mais lorsque vous nous dite...

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5 d. ago Rythme « endettement effréné » : « Il vous faut un ministère chargé exclusivement de la question », Abdou Mbow à Cheikh Diba

Le député de l’opposition et membre de la coalition Takku Wallu Sénégal, Abdou Mbow, a exprimé de vives inquiétudes concernant l’endettement du Sénégal, qui a atteint plus de 10 000 milliards de francs CFA. Selon Abdou Mbow, « le régime n’a visiblement pas de programme, mais s’endette pour payer des dettes ». Interrogeant le ministre des Finances, Cheikh Diba, sur les délais de mise en œuvre pour le financement du secteur du BTP, Abdou Mbow a également suggéré la création d’une structure étatique chargée exclusivement de la gestion de la dette. Le parlementaire a fait remarquer, de manière « paradoxale », que cette question de la dette est une préoccupation affichée par l’actuel régime. Le député Abdou Mbow s’exprimait ce samedi lors de l’examen de la Loi de Finances Rectificative (LFR) 2025, défendue par le ministre Cheikh Diba. www.dakaractu.com

Politics

5 d. ago Assemblée nationale : le projet de loi de finances rectificative adoptée à la majorité

Le projet de loi de finances rectificative a été adopté par l’Assemblée nationale à la majorité... www.pressafrik.com

Society

5 d. ago Examen du projet de loi de finances rectificative : Thierno Alassane Sall interpelle Cheikh Diba sur les 9 milliards de fonds politiques

Lors de l’examen du projet de loi de finances rectificative pour l’année 2025, le député Thiern... www.pressafrik.com

Politics

5 d. ago Thierno Alassane Sall raille Cheikh Diba et le Pastef: « Qu’avez

L’Assemblée nationale examine actuellement le projet de loi de finances rectificative pour l’année en cours. Cette loi constitue l’outil principal par lequel le gouvernement traduit ses engagements en actions et permet d'ajuster le budget de l’État face aux réalités économiques. Prenant la parole ce matin, le député Thierno Alassane Sall a qualifié l'augmentation de la dette en une seule année de simplement « inexplicable ». Selon lui, « il est impossible que ce rythme d’endettement puisse prospérer, car le constat amer est que plus de 54 % du budget provient de la dette ». Le député estime ainsi qu’il est impératif de mettre en place de nouveaux mécanismes de mobilisation de ressources. Cependant, le parlementaire s'est également prononcé sur les 9 milliards de francs CFA de fonds politiques. Il a souligné que ces fonds, que le régime du Pastef avait « farouchement fustigé » alors qu'il était dans l'opposition, pourraient désormais servir à d’autres urgences. www.dakaractu.com

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