14 h. ago Affaire Badara Gadiaga : son prêt à l'ACEP, la Fintech GSIE, les nouvelles charges du Procureur et les tentatives de manipulations de ses détracteurs

L'affaire du chroniqueur Badara Gadiaga prend une tournure inattendue. Initialement visé par une enquête pour diffusion de fausses nouvelles, discours contraires aux bonnes mœurs et offense à une personne exerçant des prérogatives du chef de l'État, le dossier s'est considérablement complexifié avec l'ajout de nouvelles accusations.   Évolution des charges   Lors de sa première garde à vue, Badara Gadiaga était uniquement retenu pour "discours contraires aux bonnes mœurs". Cependant, lors de sa présentation devant le procureur, des charges supplémentaires ont été ajoutées : diffusion de fausses nouvelles, offense à une personne exerçant des prérogatives du chef de l'État, et, de manière plus significative, une référence à l'article 80 alinéa 2 du Code pénal.     Ce que dit l’article 80 alinéa 2 du Code pénal    L'article 80 alinéa 2 du Code pénal dispose que : « Tout individu qui aura reçu, accepté, sollicité ou agréé des dons, prése...

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41 h. ago Le Sénégal met en garde contre une projection de film à Dakar autour des questions LGBTQI

Le Ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères (MIAAE) a publié un communiqué... www.pressafrik.com

Culture

51 h. ago Affaire Badara Gadiaga : Barthélémy Dias s’indigne, « C’est une injustice qui ne s’explique pas »

Le président du mouvement Sénégal Bi Ñu Bëgg, Barthélémy Dias, a réitéré son soutien au chroniqueur Badara Gadiaga, actuellement en garde à vue pour « discours contraire aux bonnes mœurs ». S'exprimant sur le plateau de France 24, Barthélémy Dias a apporté son soutien à Badara Gadiaga et critiqué le régime en place : « Actuellement, au Sénégal, le débat tourne autour de Badara Gadiaga, poursuivi pour avoir dit ce qu’a confirmé une décision de justice. C’est juste décevant de voir notre République s’affaisser à ce niveau. Badara Gadiaga est un ami et je lui exprime toute ma solidarité », a déclaré l'ancien maire de Dakar. www.dakaractu.com

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54 h. ago DSC : Garde à vue prolongée pour le chroniqueur Badara Gadiaga

La garde à vue du chroniqueur de la TFM, Badara Gadiaga, a été prolongée ce jeudi. Il a été auditionné une deuxième fois ce matin par les agents de la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC). Pour rappel, Badara Gadiaga est en garde à vue depuis hier, mercredi, pour « discours contraire aux bonnes mœurs », suite à un débat avec le député Amadou Bâ de Pastef sur le plateau de l'émission « Jakaarlo Bi ». www.dakaractu.com

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59 h. ago « Quand une décision de justice commentée en langue nationale devient un délit », s’étonne le juriste Pr Mounirou Sy

Le professeur Mounirou Sy s’est indigné suite au placement en garde à vue de Badara Gadiaga, poursuivi pour « discours contraire aux bonnes mœurs ». Cette interpellation fait suite à l'interprétation par Gadiaga des propos du député Amadou Bâ concernant l’affaire Sonko-Adji Sarr. Le juriste s’étonne que cette décision de poursuivre Badara Gadiaga soit basée sur « un commentaire en langue nationale de l’expression corruption de la jeunesse ». « La chape de plomb s'abat cyniquement sur Djolof Land où commenter en langue nationale une décision de justice sur viol par corruption de la jeunesse, rendue en français par une juridiction pénale, est désormais un délit qualifié de "discours contraire aux bonnes mœurs" », s’interroge le Pr Sy. Il estime que « la conséquence logique serait de fermer les facultés et UFR de droit où l'on enseigne aux apprenants le commentaire d'arrêt pour aiguiller la jurisprudence et la doctrine. » www.dakaractu.com

Society

60 h. ago Sida : faute de fonds américains, le monde risque de retourner plus de 20 ans en arrière

L'arrêt de l'aide américaine est "une bombe à retardement" qui risque d'anéantir plus de vingt ans de progrès dans la lutte contre la pandémie de sida, a mis en garde l'Onusida dans un rapport présenté jeudi en Afrique du Sud. Environ 31,6 millions de personnes bénéficiaient d'un traitement antirétroviral en 2024 et les décès liés au virus ont diminué de plus de moitié comparé à 2010, à 630.000 par an, indique l'agence des Nations unies chargée de la lutte contre le sida. Mais les contaminations risquent de repartir à la hausse du fait des coupes budgétaires dans les programmes de prévention et de traitement. Historiquement plus grand donateur humanitaire, les Etats-Unis ont brutalement réduit leur aide internationale en février après l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche. "Nous sommes fiers de nos résultats mais inquiets de cette soudaine interruption, qui est en train d'effacer les progrès réalisés", a déclaré à l'AFP la directrice exécutive de l'Onusida, l'Ougandaise Winn...

Economics

60 h. ago BADARA GADIAGA, SYMPTÔME D’UNE DÉMOCRATIE QUI TANGUE Par Babou Biram Faye

 "Il faut sauver le Sénégal avant qu’il ne soit trop tard". Hier, c’est Badara Gadiaga qui a été placé en garde à vue pour un motif pour le moins vague : «discours contraire aux bonnes mœurs». Un motif qui rappelle les temps obscurs où l’arbitraire se déguisait en morale publique. Aujourd’hui, c’est un chroniqueur. Demain, qui? Un citoyen lambda? Un journaliste? Un opposant? Le traitement réservé à Badara Gadiaga, qui a déplacé une foule nombreuse et solidaire jusque devant les locaux exigus de la cybersécurité, est révélateur. Révélateur d’un climat délétère où la parole libre devient suspecte, où l’engagement citoyen est scruté, traqué, puni. En somme, un contexte où la démocratie est chaque jour un peu plus grignotée par l’intolérance politique et l’autoritarisme rampant. Alioune Tine, fin connaisseur des dynamiques politiques sénégalaises, l’a dit avec justesse : «Ce régime vient de créer un grand opposant». À force de vouloir faire taire, on fabrique des symboles. À force ...

Politics

64 h. ago Déclarations contre Sonko : Placé en garde à vue, la peine de prison encourue par Badara Gadiaga

Le placement en garde à vue de Badara Gadiaga, chroniqueur de l’émission Jakaarlo, a suscité une vague de réactions, tant dans les milieux médiatiques que juridiques. Accusé de discours contraire aux bonnes mœurs, de diffusion de fausses nouvelles et d’offense à une personne investie des fonctions de chef de l’État, il encourt des poursuites au regard du Code pénal sénégalais. Badara Gadiaga a été interrogé sur trois chefs d’accusation : discours contraire aux bonnes mœurs, diffusion de fausses nouvelles, et offense à une personne investie des fonctions de chef de l’État. Que dit précisément la loi sur ces faits ? Le placement en garde à vue de Badara Gadiaga, chroniqueur de l’émission Jakaarlo, soulève des interrogations juridiques et politiques au Sénégal. Accusé de discours contraire aux bonnes mœurs, de diffusion de fausses nouvelles et d’offense à une personne investie des fonctions de chef de l’État, il encourt des sanctions prévues par le Code pénal sénégalais. La première in...

Events

66 h. ago Discours contraire aux bonnes mœurs : Ce que Badara Gadiaga a dit devant les enquêteurs

Le chroniqueur de l’émission Jakaarlo ne participera pas à l’édition de ce vendredi. Contrairement à Amadou Bâ, qui a pu regagner son domicile après son audition, Badara Gadiaga a été placé en garde à vue à l’issue de son interrogatoire, qui a duré près de neuf heures. Une situation que ses avocats jugent inacceptable, dénonçant un traitement inégal dans le traitement de ce dossier, alors que, selon eux, tout a commencé avec les propos tenus par Amadou Bâ. L’audition de Badara Gadiaga s’est achevée aux environs de minuit. D’après ses conseils, il est resté ferme sur ses positions et a assumé l’ensemble de ses déclarations. « Notre client a été convoqué à 15 heures, et vous voyez l’heure à laquelle nous sortons. On vient de lui notifier sa garde à vue pour discours contraire aux bonnes mœurs », a déclaré Me Souleymane Soumaré à la presse. Selon l’avocat, Badara Gadiaga a été interrogé sur trois chefs d’accusation : discours contraire aux bonnes mœurs, diffusion de fausses nouvelles, ...

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3 d. ago Le chroniqueur Badara Gadiaga placé en garde à vue pour "discours contraires aux bonnes mœurs"

Le chroniqueur Badara Gadiaga a été placé en garde à vue par la Division Spéciale de la Cybercriminalité (DSC) ce soir. Il lui a été notifié que cette mesure fait suite à des accusations de "discours contraires aux bonnes mœurs". www.dakaractu.com

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3 d. ago Convocations et arrestations : Barthélémy Dias dénonce une « injustice notoire » et met en garde contre les dérives autoritaires

Barthélémy Dias a réagi à l’actualité nationale. Dans une publication sur sa page Facebook... www.pressafrik.com

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4 d. ago Migrants expulsés des USA : des experts de l’ONU alertent sur le risque de torture

Des experts indépendants mandatés par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU ont mis en garde, mardi, contre les risques encourus par les migrants expulsés par les États-Unis vers des pays tiers, notamment vers le Soudan du Sud, un pays marqué par l’instabilité et l’extrême pauvreté. Dans un communiqué conjoint, les onze experts ont exprimé leurs préoccupations suite à une récente décision de la Cour suprême américaine, validant l’expulsion de huit migrants irréguliers vers le Soudan du Sud. Ces derniers – originaires de Birmanie, de Cuba, du Vietnam, du Laos, du Mexique et du Soudan du Sud – avaient été transférés en mai depuis une base militaire américaine à Djibouti, où ils étaient retenus après la suspension temporaire des expulsions par un juge fédéral. « Le droit international est clair : nul ne doit être envoyé où que ce soit lorsqu’il y a des motifs sérieux de croire que cette personne risque d’être soumise ( ) à la torture, à une disparition forcée ou à une privation arb...

Politics

5 d. ago Le CNRA met en garde contre la diffusion de contenus jugés indécents

Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) a publié un communiqué le 7 juillet 2025, signalant une augmentation des contenus jugés indécents, obscènes et injurieux dans les séries télévisées, clips et émissions. « Le CNRA a constaté une profusion de séquences, propos, images, comportements et scènes indécents, obscènes et injurieux », indique le texte, soulignant une violation des réglementations interdisant les contenus attentatoires à la moralité publique ou aux valeurs culturelles et religieuses. Face à cette situation, où « certaines productions semblent rivaliser en termes de vulgarités, d’insanités et de contre-valeurs », le CNRA appelle les éditeurs télévisuels à cesser la diffusion de tels contenus et les producteurs à les éliminer de leurs programmes. L’institution rappelle que « selon leur Cahier des charges, les médias audiovisuels sont responsables de la totalité des programmes diffusés sur leur antenne et sur l’ensemble de leurs supports ». Le non-respect...

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5 d. ago Halima Gadji très directe devant Mamico : « J’ai 36 ans jusqu’à mes 60 ans, si je ne me marie pas, je  »

Lors d’un direct tenu avec l’influenceuse Mamico, l’actrice Halima Gadji a tenu un discours fort et sans détour sur les mariages précoces ou contractés sans maturité. Connue pour son franc-parler, elle a profité de la discussion pour pousser un cri du cœur, mettant en garde les jeunes femmes contre les unions imposées ou mal choisies. « Personnellement, de 36 ans jusqu’à mes 60 ans, si je ne me marie pas, je m’en fous royalement. Car je ne vais jamais accepter d’être avec un homme violent qui me maltraite », a-t-elle déclaré avec fermeté. Cette prise de parole fait écho aux nombreux témoignages de femmes victimes de violences conjugales, et vient rappeler l’importance de la maturité, du respect et de la dignité dans le mariage. Halima Gadji, elle-même souvent engagée sur les questions de santé mentale et de droits des femmes, a ainsi réaffirmé son attachement à l’intégrité personnelle avant toute chose.

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5 d. ago Pastef contre Badara Gadiaga : La nouvelle révélation de Madiambal Diagne sur ce qui se prépare

La polémique autour des propos tenus par le chroniqueur Badara Gadiaga dans l’émission « Jakaarlo » de la TFM, au sujet de l’affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr, ne faiblit pas. Après que le chroniqueur a encore culpabilisé l'actuel Premier ministre, malgré l’anéantissement légal de sa condamnation par contumace, plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer une atteinte grave à la présomption d’innocence. Parmi elles, celle de Me Assane Dioma Ndiaye, avocat et président de la Ligue sénégalaise des droits humains, dont l’intervention, rapportée par L’As, a clairement remis en question la légalité des propos de Gadiaga et mis en garde contre les risques de poursuites pénales. Mais c’est un tout autre ton qu’a adopté Madiambal Diagne qui est monté au créneau sur le réseau social X (anciennement Twitter), pour dénoncer ce qu’il considère comme une tentative du camp de l’ex-Pastef de museler la liberté d’expression. « Pastef souhaite que le Procureur vole à son secours pour faire taire Bad...

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1 week ago Bavures policières à Rosso et Cambérène : Le Président de la République exige des enquêtes rigoureuses et promet des décisions fermes

Le Chef de l'État est enfin sorti de son silence. Suite aux récents incidents impliquant des éléments des forces de l'ordre à Rosso et Cambérène, il a réagi avec fermeté, en condamnant des actes qu’il juge "inadmissibles".  Il a instruit le ministre de l’Intérieur ainsi que le directeur général de la Police nationale de diligenter des enquêtes avec impartialité.   "Un rapport circonstancié doit me parvenir dans les plus brefs délais", a-t-il ordonné, visiblement indigné après avoir visionné certaines séquences qui ont circulé sur les réseaux sociaux et dans la presse.   Le Président a rappelé que la mission première de la police est de sécuriser les citoyens, non de leur porter atteinte. En ce sens, il a fermement dénoncé les débordements constatés à Rosso comme à Cambérène, assurant qu'aucun abus ne sera toléré sous son magistère.   "Je prendrai toutes les décisions qui s’imposent", a-t-il promis, mettant en garde contre toute tentative de couvrir des pratiques ...

Politics

1 week ago Ennuis judiciaires : Nouveau rebondissement dans l’affaire Tony Sylva – Aïda Bâ

On croyait l'affaire définitivement close, mais le dossier judiciaire opposant Aïda Bâ à l’ancien international sénégalais Tony Sylva n’a pas encore connu son épilogue. Bien au contraire. Selon des informations rapportées par L’Observateur, l'ex-épouse de l’ancien gardien des Lions a formé un rabat contre l’arrêt de la Chambre pénale de la Cour suprême qui l’avait déclarée déchue de son pourvoi. La haute juridiction, statuant en Chambres réunies, va examiner son recours le mardi 1er juillet prochain. Pour rappel, l’affaire remonte au divorce houleux entre Aïda Bâ et Tony Sylva, tous deux unis sous le régime de la communauté de biens. À l’issue de leur séparation, le partage du patrimoine commun s’est rapidement transformé en contentieux judiciaire. Tony Sylva, actuel entraîneur des gardiens de l’équipe nationale A, affirme qu’il envoyait de l’argent à son épouse lorsqu’il évoluait en Europe, lui confiant la gestion des affaires familiales au Sénégal. Mais, selon les révélations du q...

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1 week ago Renforment des pouvoirs du Premier ministre : Maurice Soudieck Dionne met en garde contre un "scénario de 1962"

Maurice Soudieck Dione, enseignant-chercheur et Professeur agrégé de science politique... www.pressafrik.com

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1 week ago Renforment des pouvoirs du Premier ministre : Maurice Soudieck Dione met en garde contre un "scénario de 1962"

Maurice Soudieck Dione, enseignant-chercheur et Professeur agrégé de science politique... www.pressafrik.com

Politics

2 w. ago Tenues militaires ou couleurs nationales : le CNG met en garde les lutteurs contre les écarts vestimentaires !

Le comité national de gestion de la lutte (CNGL) a publié un communiqué ce vendredi pour dire stop à certaines pratiques concernant les écarts vestimentaires. Désormais, les tenues militaires, effigies de marabouts ou les tenues aux couleurs nationales sont interdites. Le CNG a sifflé la fin de la récréation concernant certaines pratiques observées récemment dans l’arène. Des lutteurs ont porté des tenues militaires ou ont arboré des effigies de marabouts ou des accoutrements aux couleurs du drapeau national. Des pratiques qui sont contraires aux règlements du CNG. Malick Ngom, le président du CNG, rappelle aux acteurs de la lutte le respect des règles, sous peine de sanctions. « Nous appelons l’ensemble des acteurs de la lutte au strict respect de ces règles », avertit le communiqué, insistant sur le caractère non négociable des mesures. Le Comité national de gestion de la lutte (CNGL) rappelle que seuls les habits conformes aux règles sont autorisés. Des sanctions sont prévues en ...

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