81 m. ago Aïssata Tall Sall à Ousmane Sonko et cie : « La justice n’est pas un jeu de Lambi Golo »

La réaction cinglante de l'ancienne ministre de la Justice à l'interprétation de la loi d'amnistie suscite des remous dans le landerneau politique et juridique. La décision du Conseil constitutionnel, intervenue récemment sur l’interprétation de la loi d’amnistie votée par l’Assemblée nationale, continue de faire couler beaucoup d’encre. Parmi les réactions les plus remarquées : celle d’Aïssata Tall Sall. L’ancienne ministre de la Justice et avocate a publié un message fort sur le réseau social X (ex-Twitter), dans lequel elle ne cache pas son exaspération face aux interprétations divergentes de la loi. « La justice n’est pas un jeu de Lambi Golo ! », a-t-elle écrit avec une verve qui rappelle ses envolées d’audience. Et de poursuivre : « Le droit est une science que l’on ne peut triturer à sa façon et selon son bon vouloir. Les docteurs Diafoirus du droit qui voulaient interpréter la Loi d’amnistie en ont eu pour leurs frais ! » Aïssata Tall Sall semble viser clairement une frange ...

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2 h. ago Nomination : Mouhamadou Bachir Seye intègre le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel du Sénégal s'apprête à accueillir un nouveau visage dans ses rangs. Mouhamadou Bachir Seye a été officiellement nommé pour remplacer le défunt Mamadou Badio Camara, ancien président de l’institution, rappelé à Dieu le jeudi 10 avril 2025. L’installation du nouveau membre est prévue pour le 28 avril prochain, marquant une nouvelle page dans l’histoire du plus haut organe juridictionnel du pays. La nouvelle de cette nomination a été rendue publique par le journaliste Madiambal Diagne sur sa page X (ex-Twitter). Le patron du groupe Avenir Communications n’a pas tari d’éloges sur celui qu’il décrit comme un homme d’intégrité et de rigueur : « Mouhamadou Bachir Seye vient d'être nommé membre du Conseil Constitutionnel en remplacement de Badio Camara. Il sera installé le 28 avril 2025. Je peux témoigner que c'est un excellent choix. Le juge Seye est d'une grande probité. J'ai travaillé avec lui comme son greffier », a-t-il confié.

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3 h. ago INFO SeneNews – Révélations : Les dessous d’une traque d’État qui pourrait faire tomber Macky Sall pour haute trahison

Les murs ont des oreilles, les dossiers ont une mémoire. Depuis quelques semaines, un ballet discret mais soutenu agite les couloirs feutrés des institutions sénégalaises. Des noms circulent, des documents changent de main, des regards se croisent sans se saluer. Au cœur de cette effervescence silencieuse, une rumeur persistante enfle : un ancien chef d’État pourrait être convoqué par l’Histoire elle-même. SeneNews a mené l’enquête, et ce que nous avons découvert dépasse toutes les spéculations. Car derrière les procédures actuelles, c’est un engrenage implacable qui semble se refermer, lentement mais sûrement, sur Macky Sall. Voici pourquoi. Jusqu'ici, tout semblait sous contrôle. Le régime de Bassirou Diomaye Faye, dans sa posture de rupture, avançait pas à pas, concentré sur la refondation des institutions et la moralisation de la vie publique. Mais en coulisses, les signaux ne trompaient plus. À la Présidence, dans certains cercles judiciaires, et jusque dans les milieux diploma...

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3 h. ago Aïssata Tall Sall sur la décision du Conseil constitutionnel : « la justice n’est pas un jeu de Lambi Golo »

Réagissant à la décision du Conseil constitutionnel sur la loi d’amnistie, Aïssata Tall Sall... www.pressafrik.com

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4 h. ago Réaction de Mimi Touré à la décision du Conseil constitutionnel : un appel à rendre justice aux victimes

L’ancienne Première ministre du Sénégal, Aminata Mimi Touré, s’est félicitée de la décision rendue par le Consei...

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4 h. ago Fatou Kiné Cissé en prison après ses déclarations sur la sécurité du président Diomaye

Déjà mise en cause dans une précédente affaire, Fatou Kiné Cissé, présidente-directrice générale de la société « Tahar Projets », a été placée sous mandat de dépôt par le doyen des juges. Sous le coup d’un contrôle judiciaire dans une procédure antérieure pour diffusion de fausses nouvelles, elle a été de nouveau entendue et placée en détention dans le cadre d’une nouvelle affaire liée à des déclarations jugées graves. Dans une vidéo diffusée sur YouTube, Fatou Kiné Cissé avait affirmé que la sécurité du président de la République et celle du Premier ministre étaient menacées, en raison de la promotion récente d’un officier réputé proche de l’ancien chef de l’État, Macky Sall. Ces accusations, qui ont rapidement suscité l’émoi sur les réseaux sociaux, n’ont été étayées par aucun élément matériel ou preuve concrète, selon les enquêteurs. Seuls des articles d’un site web non identifié ont été évoqués à l’appui de ses allégations. Face à la gravité des propos tenus et à l’absence d’élé...

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10 h. ago Me Aïssata Tall Sall sermonne le Pastef : « La décision historique du Conseil constitutionnel vient de les ramener tranquillement à l'amphithéâtre »

  C’est au tour de la présidente du groupe parlementaire Takku de monter au créneau pour répondre aux membres du Pastef, avec à leur tête Ousmane Sonko, qui s’est également invité à l’interprétation de la décision du Conseil constitutionnel. « La justice n'est pas un jeu de Lambi Golo ! » « Le droit est une science que l'on ne peut triturer à sa façon et selon son bon vouloir ; les docteurs Diafoirus du droit qui voulaient interpréter la loi d'amnistie en ont eu pour leurs frais ! », a déclaré Me Aïssata Tall Sall en réaction aux propos des acteurs politiques du Pastef. « La décision historique du Conseil constitutionnel vient de les ramener tranquillement à l'amphithéâtre. Mais au lieu de reconnaître humblement qu'ils se sont perdus, ils en sont, toute honte bue, à vouloir encore interpréter la décision du Conseil. Errare humanum est, perseverare diabolicum », ajoute l’avocate. www.dakaractu.com

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14 h. ago Le Conseil constitutionnel sur la loi d’interprétation : Me Aïssata Tall Sall et ses camarades de Takku Wallu à leurs « considérants »

La guerre des communiqués se poursuit après la décision du Conseil Constitutionnel sur la loi interprétative de l’amnistie. Après le groupe parlementaire Pastef, c’est au tour du groupe parlementaire de l’opposition Takku Wallu Sénégal d'estimer que cette décision « vient de mettre fin à la diabolique tentative d'interprétation de la loi du 13 mars 2024, exercice qui n'était rien d'autre qu'une grossière mise en scène pour faire voter une loi nouvelle ». Le groupe de Me Aïssata Tall Sall est convaincu que la loi du 13 mars 2024 « ne portait aucune ambiguïté pour être interprétée selon le considérant n° 20 et que la loi dite interprétative posait une règle nouvelle aux effets rétroactifs plus sévères que la loi ancienne (considérant n° 24) ». Par ailleurs, la décision renseigne que la loi dite interprétative « a cherché à amnistier des faits criminels imprescriptibles au regard des engagements internationaux à valeur constitutionnelle du Sénégal, seulement parce qu’ils ont un lien av...

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14 h. ago Crimes de sang et impunité : Pastef exhorte la justice à agir après la décision du Conseil constitutionnel

Le groupe parlementaire Pastef - Les Patriotes prend acte de la décision rendue par le Conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril 2025, qui exclut de la loi d’amnistie les crimes imprescriptibles tels que l’assassinat, la torture ou les traitements inhumains. Pour Pastef, cette décision légitime la possibilité pour les victimes de demander réparation et ouvre la voie à des poursuites contre les auteurs et les commanditaires de ces actes. Voici le communiqué ! « Le Groupe Parlementaire Pastef les Patriotes prend acte de la décision rendue par le Conseil Constitutionnel ce mercredi 23 avril 2025. Il ressort de cette décision que : Aux termes du Considérant 31, l'assassinat, le meurtre, la torture, les actes de barbarie, les traitements inhumains, cruels ou dégradants sont des crimes imprescriptibles qui ne peuvent être couverts par une loi d'amnistie ; Les victimes ont un droit à réparation, conformément à l'article 2 de la loi interprétative. Ainsi, la décision du Conseil Constitut...

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15 h. ago Décision du Conseil constitutionnel : Badara Gadiaga salue une victoire de la justice et de la raison

Le chroniqueur et analyste politique Badara Gadiaga n’a pas caché sa satisfaction après l’annonce de la décision du Consei...

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18 h. ago Décision sur la loi d’amnistie : « Le peuple attend la justice », affirme Waly Diouf Bodiang

Dans une déclaration rendue publique ce lundi, le Directeur général du Port autonome de Dakar (PAD), Waly Diouf Bodiang, a salué la décision du Conseil constitutionnel concernant la loi d’amnistie n°08/2025 du 02 avril 2025. Cette décision exclut notamment les crimes imprescriptibles — tels que les assassinats, meurtres, actes de torture ou traitements inhumains et dégradants — du champ d’application de l’amnistie. « La décision du Conseil Constitutionnel a les mêmes effets que la loi interprétative », a déclaré M. Bodiang, soulignant ainsi la portée juridique et politique de cette décision majeure. Pour lui, il est désormais impératif de « tirer froidement toutes les conséquences » de cette position du juge constitutionnel. Alors que le débat sur la justice transitionnelle et la réconciliation nationale reste vif, le Directeur général du PAD insiste : « Le peuple attend du régime une distribution complète de la justice. » Cette prise de parole intervient alors que plusieurs voix, d...

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19 h. ago Rejet de la proposition de loi d’Amadou Ba : La réaction de Thierno Alassane Sall

Thierno Alassane Sall a réagi au rejet par le Conseil constitutionnel de la proposition de loi d’Amadou Ba portant interprétation de la loi d’amnistie. Le leader du parti République des valeurs estime que les sages du Conseil ont rappelé au parti au pouvoir que la « justice à deux vitesses est bannie par l’Etat de droit » … Cet article Rejet de la proposition de loi d’Amadou Ba : La réaction de Thierno Alassane Sall est apparu en premier sur Rewmi.com.

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20 h. ago TAS après la décision du CC sur la loi interprétative : Il est curieux que le régime Pastef ait oublié que la justice à deux vitesses est bannie par l’État de droit

Le Conseil Constitutionnel a rendu sa décision numéro 1/C/2025, déclarant contraire à la Constitution la loi portant interprétation de l’amnistie, votée par la majorité parlementaire du Pastef. « Le juge constitutionnel rappelle ainsi un principe élémentaire : la justice à deux vitesses est bannie par l’État de droit. Il est curieux que le régime Pastef ait oublié si vite ce principe fondamental », a déclaré le président de la République des Valeurs (RV). Selon Thierno Alassane Sall, il était évident que « l’abrogation partielle de l’amnistie était impossible ». Il reste maintenant, selon le député non inscrit, à ouvrir des concertations les plus inclusives possibles afin de trouver un équilibre entre l’impératif de la justice et la nécessité de réconciliation d’une nation fracturée. www.dakaractu.com

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20 h. ago Thierno Alassane Sall réagit après le rejet de la loi interprétative de la loi d’Amnistie par le Conseil constitutionnel

La réaction du député Thierno Alassane Sall ne tarde pas à se faire après que le Conseil constitutionnel, à travers une note, a rejeté la loi interprétative de la loi d'Amnistie déposée par le député Amadou Ba et adoptée, le 02 avril dernier, par l'Assemblée nationale. "Par une décision numéro 1/C/2025 rendue aujourd’hui, le Conseil constitutionnel vient de déclarer contraire à la Constitution la loi portant interprétation de l’amnistie qui a été votée par le régime PASTEF. Le juge constitutionnel rappelle ainsi un principe élémentaire : la justice à deux vitesses est bannie par l’État de droit. Il est curieux que le régime PASTEF ait oublié si vite ce principe fondamental" , a déclaré l'opposant. Ce dernier ajoute : "Il était évident que l’abrogation partielle de l’amnistie était impossible. Il reste maintenant à ouvrir des concertations les plus inclusives possibles de manière à trouver un équilibre entre l’impératif de la Justice et la nécessité de réconciliation d’une nation fra...

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24 h. ago Reddition des comptes : Les mises en garde de l’ancien ministre Abdoulaye Seydou Sow

Invité de l’émission Salam Sénégal, l’ancien ministre Abdoulaye Seydou Sow, ex-haut responsable sous le régime de Macky Sall, s’est exprimé sur l’actualité marquée par les poursuites judiciaires visant plusieurs anciens membres du gouvernement. Alors que le débat sur la reddition des comptes anime l’espace public, l’ancien ministre appelle à la prudence et à l’équilibre. S’il affirme soutenir le principe de redevabilité, Abdoulaye Seydou Sow soulève des inquiétudes sur la manière dont certaines affaires sont traitées. « Ce qui m’étonne, c’est que beaucoup de ces arrestations ne relèvent pas de la reddition des comptes. Le cas de Lat Diop, par exemple, ne concerne pas sa gestion à la LONASE. Pareil pour Farba Ngom. Il faut faire très attention à respecter les droits de chacun », a-t-il déclaré. L’ancien ministre alerte sur une possible instrumentalisation politique des procédures judiciaires. « Il ne faut pas en faire une affaire politicienne pour éliminer des adversaires. Sinon, not...

Politics

26 h. ago Thierno Alassane Sall dresse un tableau sombre de la situation du pays

En conférence de presse tenue ce mardi 22 avril 2025, le président du parti République des Valeurs, Thierno Alassane Sall, a dressé un tableau sombre de la situation du pays, n’épargnant aucun secteur dans son diagnostic critique. Face aux journalistes, l’ancien ministre a déploré l’absence de résultats concrets depuis l’arrivée au pouvoir du parti Pastef, pointant un écart croissant entre les attentes des populations et la réalité sur le terrain. « La plupart espérait un changement rapide avec l’arrivée de Pastef au pouvoir, mais aujourd’hui, la note du Sénégal est encore plus basse », a-t-il déclaré. Sur le plan économique, Thierno Alassane Sall a dénoncé le ralentissement général de l’activité, évoquant notamment l’effondrement du secteur du BTP : « Les BTP sont à l’état de léthargie. L’économie, elle, est dans une situation d’arrêt. Les investisseurs ne se bousculent pas », a-t-il affirmé. Il a également exprimé ses inquiétudes sur le secteur de l’enseignement supérieur, en part...

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43 h. ago Haute Cour de Justice : Les députés convoqués ce mercredi à l’Assemblée nationale

Le Bureau de l’Assemblée nationale ainsi que la Conférence des Présidents sont convoqués ce mercredi pour une réunion importante. À l’ordre du jour figure la question de la reddition des comptes, notamment la transmission de dossiers à la Haute Cour de justice. « Le Bureau de l’Assemblée nationale et la Conférence des Présidents convoqués demain mercredi. La reddition des comptes vers la Haute Cour de justice pour juger des ministres cités dans des affaires de détournement de deniers publics et corruption. », écrit Abdoul Aziz Sall sur ses réseaux sociaux. Il s’agira, en d’autres termes, d’examiner les procédures visant certains anciens ministres cités dans des affaires présumées de détournement de deniers publics et de corruption. Cette étape pourrait ouvrir la voie à des poursuites judiciaires devant l’instance habilitée à juger les membres du gouvernement pour des infractions commises dans l’exercice de leurs fonctions.

Politics

43 h. ago Thierno Alassane Sall largue ses bombes devant le Pastef : « Ils sont incapables, bavards et méchants »

Le président du parti République des Valeurs (RV) a tenu cet après-midi une conférence de presse pour se prononcer sur l’actualité au Sénégal, abordant notamment les questions économiques et sociales. Thierno Alassane Sall s'est dit écœuré par la démarche du nouveau régime incarné par le Pastef, estimant que les débuts de ce régime ne sont pas rassurants. « Je me demande comment un État sérieux peut-il fouler aux pieds les urgences en faisant la sourde oreille face aux revendications des travailleurs, en taisant ce qui se passe à l’université avec ce retard constaté dans les études, mais aussi et surtout avec cette économie à l’agonie », a regretté le député, qui constate « un régime avec à sa tête un parti qui regroupe des personnes incapables, incompétentes, bavardes et méchantes ». Thierno Alassane Sall les invite à se ressaisir et à se concentrer sur les urgences. www.dakaractu.com

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44 h. ago Appel à un débat public / TAS à Sonko : « Je suis prêt à répondre à son appel, quel que soit le lieu »

En conférence de presse ce mardi, le président de la République des Valeurs (RV) a répondu au leader du Pastef, Ousmane Sonko, qui l’a invité à un débat public sur le pétrole et le gaz. Thierno Alassane Sall se dit prêt à répondre au Premier ministre, et ce, dans n’importe quelle langue : « J’ai bien entendu son appel à débattre des questions liées aux ressources naturelles. Je suis à son écoute. Libre à lui de choisir le lieu, l’heure et la langue qu’il veut », a déclaré le député, qui a été interpellé en son absence par Ousmane Sonko lors de la séance plénière sur les questions d’actualité au gouvernement. www.dakaractu.com

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63 h. ago Bilan de Macky Sall : Voici une estimation en milliards de FCFA des projets listés

Voici une estimation en milliards de FCFA des projets listés dans le bilan de Macky Sall. Ces chiffres sont fondés sur de...

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