19 h. ago Crimes de sang : La prise de position surprenante de Me Moussa Bocar Thiam

Face aux débats houleux entourant l’amnistie accordée à Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, Me Moussa Bocar Thiam a livré une analyse tranchée. L’ancien ministre, membre du SEN APR, a tenu à rappeler que l’ordonnance de non-lieu prononcée par le juge d’instruction est pleinement fondée en droit. « L’ordonnance du juge d’instruction décidant du non-lieu en faveur des prévenus Sonko et Diomaye en application de la première loi portant amnistie est une décision fondée en droit », a-t-il précisé, ajoutant qu’« aucun recours n’est possible sauf celui du procureur », lui-même placé sous l’autorité du Premier ministre concerné par cette décision. Me Moussa Bocar Thiam a également évoqué la portée de la décision du Conseil constitutionnel, affirmant que celle-ci empêche toute promulgation de la loi interprétative par le Président de la République. Selon lui, deux alternatives existent : maintenir la situation actuelle où la loi d’amnistie reste applicable, ou bien soumettre une nouvelle...

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19 h. ago Me Moussa Bocar THIAM : « Arrêtez de hurler partout que les crimes de sang sont imprescriptibles »

L’ordonnance du juge d’instruction décidant du non-lieu en faveur des prévenus Sonko et Diomaye en application de la première loi portant amnistie est une décision fondée en droit. Aucun recours n’est possible sauf celui du procureur (lequel dépend du ministre de la Justice donc du PM lui même mis en cause et bénéficiaire de la […] The post Me Moussa Bocar THIAM : « Arrêtez de hurler partout que les crimes de sang sont imprescriptibles » appeared first on Walf NET.

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4 d. ago Décision du Conseil Constitutionne,l Pastef salue une victoire du droit : « Les crimes de sang ne resteront pas impunis »

À la suite de la décision rendue par le Conseil Constitutionnel ce mercredi 23 avril 2025, le groupe parlementaire Pastef – Le...

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4 d. ago Crimes de sang et impunité : Pastef exhorte la justice à agir après la décision du Conseil constitutionnel

Le groupe parlementaire Pastef - Les Patriotes prend acte de la décision rendue par le Conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril 2025, qui exclut de la loi d’amnistie les crimes imprescriptibles tels que l’assassinat, la torture ou les traitements inhumains. Pour Pastef, cette décision légitime la possibilité pour les victimes de demander réparation et ouvre la voie à des poursuites contre les auteurs et les commanditaires de ces actes. Voici le communiqué ! « Le Groupe Parlementaire Pastef les Patriotes prend acte de la décision rendue par le Conseil Constitutionnel ce mercredi 23 avril 2025. Il ressort de cette décision que : Aux termes du Considérant 31, l'assassinat, le meurtre, la torture, les actes de barbarie, les traitements inhumains, cruels ou dégradants sont des crimes imprescriptibles qui ne peuvent être couverts par une loi d'amnistie ; Les victimes ont un droit à réparation, conformément à l'article 2 de la loi interprétative. Ainsi, la décision du Conseil Constitut...

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4 d. ago Le Pastef « interprète » la décision du CC sur l’amnistie et précise que « sa revendication a trouvé un écho favorable »

Dans un communiqué faisant suite à la décision du Conseil Constitutionnel sur le recours de l’opposition concernant la loi interprétative de l’amnistie, le Groupe Parlementaire Pastef Les Patriotes rappelle qu’aux « termes du Considérant 31, l'assassinat, le meurtre, la torture, les actes de barbarie, les traitements inhumains, cruels ou dégradants sont des crimes imprescriptibles qui ne peuvent être couverts par une loi d'amnistie. Deuxièmement, les victimes ont un droit à réparation, conformément à l'article 2 de la loi interprétative ». Ainsi, estiment Ayib Daffé et ses camarades, « la décision du Conseil Constitutionnel confère à toutes les victimes la possibilité de déposer des plaintes contre les meurtriers, assassins, tortionnaires, nervis, leurs complices et surtout les commanditaires ». Pastef Les Patriotes se dit plus que jamais attaché à l'idéal de justice et constate que « sa revendication ferme de ne pas laisser impunis les crimes de sang a trouvé un écho favorable dans...

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6 d. ago Tentative de coup d’État au Burkina Faso : L’appel à la résistance de la CNAVC contre « l’ennemi »

Réunis ce mardi 22 avril 2025 au Mémorial Thomas Sankara, les membres de la Coordination nationale de la veille citoyenne (CNAVC) ont lancé un appel fort à la mobilisation du peuple burkinabè face aux menaces qui pèsent sur le pays et la sous-région. Dans une déclaration solennelle, la CNAVC a d'abord exprimé sa solidarité avec le Mali, engagé dans une lutte sans relâche contre le terrorisme. « Nous saluons le courage du peuple malien, ainsi que le soutien indéfectible des pays frères du Niger et du Burkina Faso », ont affirmé les membres de la coordination, en référence à la coopération sécuritaire en cours dans la région. Cette prise de position intervient dans un climat régional tendu, notamment après la destruction d’un drone malien à Tin-Zaouatène, une localité frontalière de l’Algérie, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2025. Un épisode qui a ravivé les tensions autour des opérations militaires dans la zone sahélienne. Dans un second temps, la CNAVC a tenu à réitérer son app...

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1 week ago Alioune Tine : « Pourquoi Farba Ngom et Tahirou Sarr doivent être libérés sous caution »

Alioune Tine, fondateur du Think Tank Afrikajom Center et figure emblématique de la société civile sénégalaise, a lancé un appel ce jeudi 17 avril en faveur de Farba Ngom et Tahirou Sarr. Dans une publication sur le réseau social X (anciennement Twitter), le défenseur des droits de l’homme s’est prononcé en faveur de l’égalité de traitement judiciaire pour les personnes poursuivies dans le cadre du rapport de la Cour des comptes. « Si la libération sous caution est accordée à certaines personnes arrêtées pour détournement présumé de deniers publics, il serait cohérent et juste qu’elle s’applique également aux milliardaires Farba Ngom et Tahirou Sarr », a-t-il déclaré. Une prise de position qui intervient dans un contexte où la question de la justice équitable et de la sélectivité dans l’application des lois revient régulièrement dans le débat public. Pour Alioune Tine, l’application des textes de loi ne doit souffrir d’aucune forme de discrimination. Il appelle ainsi à une réforme p...

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2 w. ago Sortie musclée d’Ousmane Sonko contre l’opposition : La réaction à chaud de Barthélémy Dias !

Barthélémy Dias sort enfin de son silence après la sortie tonitruante d’Ousmane Sonko visant une partie de l’opposition. L’ancien maire de Dakar, resté en retrait de la scène politique depuis son départ de la mairie, a choisi Facebook pour s’exprimer et lancer un message fort. Dans une publication sobre mais percutante, Barthélémy Dias appelle à l’unité des forces vives : « Nos égos ne pèsent rien face aux urgences du peuple », écrit-il, insistant sur la nécessité de dépasser les querelles de leadership pour se recentrer sur les attentes populaires. Alors que le débat politique s’enflamme à nouveau, il invite ses camarades à « rester concentrés et mobilisés », sous-entendant que les divisions internes ne doivent pas détourner l’opposition de ses véritables objectifs : le changement et le service du peuple. Cette prise de position intervient à un moment stratégique, où la recomposition de l’opposition semble inévitable. En plaçant l’intérêt général au-dessus des rivalités personnelle...

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2 w. ago « Lenteurs » dans la justice : Le Premier ministre Ousmane Sonko en phase avec le Garde des Sceaux

Lors de sa première intervention devant l'Assemblée nationale dans le cadre des questions d'actualité au gouvernement, le Premier ministre est revenu sur les commentaires concernant le fonctionnement de la justice. Ousmane Sonko n'a pas dit moins que le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, lors de sa dernière prise de position sur le sujet. « C'est le président qui définit la politique de la nation. C'est lui qui a donné carte blanche au ministre de la Justice. C'est le chef de l'État qui nomme le Premier ministre et même le ministre de la Justice », a d'emblée déclaré le chef du gouvernement. Pour le Premier ministre, « le Sénégal n'a pas de problème d'institutions » à l'heure actuelle. Bien que de nombreuses critiques visent particulièrement la justice, Ousmane Sonko souligne que « l'institution judiciaire a un rôle central. C'est elle qui doit stabiliser [le pays]. Le ministre de la Justice est une institution politique, et les juges ont leur indépendance. Ils ne jugent que se...

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2 w. ago Hommage à Y’en a marre : Sentinelles d’une démocratie exigeante ( Par Thierno Bocoum )

Oumar Cyrille Touré, alias Thiat, vient d’être élu coordonnateur du mouvement Y’en a marre. C’est l’occasion de saluer un collectif que j’ai longtemps côtoyé, sans partager une tasse de thé, mais avec lequel j’ai été profondément lié par une même soif de justice et d’engagement démocratique. Y’en a marre a toujours dérangé les pouvoirs, quels qu’ils soient, parce qu’il est resté fidèle à ses principes. Détesté par les régimes, respecté par les oppositions, ce mouvement a su conserver une ligne de conduite constante : la défense des intérêts majeurs du peuple, sans compromis. Il faut reconnaître à Y’en a marre une rare capacité d’autocritique et de régénération : ses membres se renouvellent, se sanctionnent entre eux en toute transparence, et refusent les sirènes du pouvoir pour préserver leur indépendance et leur liberté de ton. C’est cette posture qui en fait un pilier de la vitalité démocratique au Sénégal. Leur récente prise de position contre la loi d’amnistie, habilement rebapt...

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2 w. ago Convoqué à la Section de Recherches, Abdou Nguer réagit : « Mon souhait est de rencontrer directement le procureur » (Vidéo)

Le chroniqueur Abdou Nguer est attendu ce lundi à la Section de recherches de la gendarmerie. Cette convocation fait suite à des propos qu’il aurait tenus après le décès de Badio Camara, ancien président du Conseil constitutionnel. Une enquête a été ouverte par les autorités judiciaires afin de faire la lumière sur ses déclarations. Interrogé sur cette situation, Abdou Nguer n’a pas caché son malaise : « Je suis gêné par cette convocation. Parce que je dois faire face aux gendarmes que je respecte beaucoup. Je sais qu’ils ont reçu des ordres. Mon souhait est de rencontrer directement le procureur qui est à l’origine de tout », a-t-il confié. Par cette déclaration, le chroniqueur semble remettre en question le processus judiciaire en exprimant sa volonté de s’adresser directement au parquet, sans passer par l’enquête préliminaire. Une prise de position qui pourrait être interprétée comme une tentative de contourner les étapes classiques de la procédure judiciaire. 🚨Convoqué à la sec...

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2 w. ago Brésil : Ngagne Mbaye abattu par la police, la prise de position ferme de l’État du Sénégal

Le Sénégal est en deuil après la mort tragique de Ngagne Mbaye, un jeune ressortissant sénégalais abattu ce vendredi 11 avril 2025 à São Paulo, au Brésil, lors d’une intervention de la police locale. Les circonstances de ce drame soulèvent une vive émotion, aussi bien au sein de la communauté africaine au Brésil que dans la diaspora sénégalaise. Selon plusieurs témoignages recueillis sur place, le drame s’est produit alors que Ngagne Mbaye tentait de s’interposer pour défendre un vendeur ambulant dont les marchandises allaient être confisquées par les forces de l’ordre. La situation aurait rapidement dégénéré en altercation avec la police, au cours de laquelle Ngagne Mbaye a reçu une balle à l’abdomen. Transporté d’urgence à l’hôpital, le jeune homme a succombé à ses blessures quelques heures plus tard. Des vidéos choquantes, relayées massivement sur les réseaux sociaux, montrent la violence de l’intervention policière, alimentant l’indignation et ravivant les tensions autour des vi...

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2 w. ago La nomination de l’ancien président, Macky Sall, finalement contestée

L’entrée de l’ancien président sénégalais Macky Sall au sein du conseil d’administration de la Fondation Mo Ibrahim suscite de vives réactions dans les milieux universitaires et intellectuels. Dans une tribune collective signée par plus de cinquante personnalités, les auteurs dénoncent un « grave contresens moral » de la part d’une institution pourtant réputée pour son engagement en faveur de la bonne gouvernance en Afrique. Une prise de position qui relance le débat sur l’héritage politique de Macky Sall et sur la cohérence des critères de sélection adoptés par les organismes internationaux en matière de leadership africain. In extenso, la tribune contre Macky Sall : Macky Sall, fossoyeur de la démocratie sénégalaise et caution morale de la Fondation Mo Ibrahim ? Il arrive que l’histoire trébuche. Mais quand elle s’effondre volontairement dans l’amnésie, alors l’indignation devient un devoir. En intégrant Macky Sall à son conseil d’administration, la Fondation Mo Ibrahim tourne le ...

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2 w. ago Front de libération de l’Azawad : Une nouvelle sortie attribuée à l’Ukraine fâche Assimi Goïta

Une récente communication de l’Ambassade d’Ukraine en République du Sénégal attire l’attention et soulève des interrogations à Bamako. Dans un communiqué de presse diffusé dans le cadre de ses activités diplomatiques en Afrique, la mission ukrainienne a exprimé des propos perçus par certains observateurs maliens comme une marque de soutien implicite au mouvement indépendantiste de l’Azawad. Bien que l’Ukraine ne reconnaisse pas officiellement le Front de libération de l’Azawad (FLA), la formulation employée dans le communiqué interpelle. L’Ambassade considérerait le Front de libération de l’Azawad comme les Ukrainiens luttant pour la liberté de leur peuple. Ce parallèle, qui établit une analogie entre la résistance ukrainienne face à l’invasion russe et le combat armé des séparatistes touaregs, ne passe pas inaperçu. Plusieurs analystes y voient une prise de position ambiguë, susceptible de froisser les autorités maliennes et leurs alliés régionaux. Des précédents évoqués L’Ukraine ...

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3 w. ago Soutien à Aliou NIANE : Alioune TINE appelle à la fin des pressions sur la Justice

Dans un post publié sur X ce lundi 7 avril 2025, Alioune TINE, fondateur du think tank Afrikajom Center, a exprimé son soutien à Aliou NIANE, président de la Chambre de discipline financière de la Cour des comptes, pour sa défense de l’indépendance de l’institution judiciaire. TINE a salué cette prise de position, soulignant qu’il […] The post Soutien à Aliou NIANE : Alioune TINE appelle à la fin des pressions sur la Justice appeared first on Walf NET.

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3 w. ago Le SEN de l’APR tacle le pouvoir et exige un référendum sur les réformes institutionnelles

Le Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’Alliance Pour la République (APR) a rendu publique, ce samedi 6 avril 2025, une déclaration cinglante à l’adresse du pouvoir en place. Publiée au lendemain des célébrations de la Fête nationale, cette prise de position du parti fondé par l’ancien président Macky Sall mêle critiques acerbes contre le régime actuel et exigences démocratiques, notamment un référendum sur les réformes institutionnelles.   Hommage au peuple et aux FDS Dans sa déclaration, lue par la rédaction de DAKARACTU, le SEN adresse d’abord ses félicitations au peuple sénégalais, saluant « l’unité dans la diversité » ainsi que la consolidation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté nationale. Un hommage appuyé est également rendu aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS), louées pour leur loyauté envers la République.   Un bilan contrasté : fierté de l’ère Sall, critiques du régime actuel Le SEN estime que le défilé militaire a mis en lumièr...

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3 w. ago Bassirou Diomaye Faye : « C’est pourquoi je n’ai pas encore quitté le Conseil supérieur de la magistrature »

Face à la presse locale ce jeudi, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’est longuement exprimé sur les grandes questions institutionnelles et politiques qui agitent le pays. Durant plus de deux heures d’échanges avec les journalistes, le Chef de l’État a abordé, sans détour, des sujets sensibles, notamment sa présence au sein du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Interpellé sur cette question, souvent source de polémiques dans les débats sur l’indépendance de la justice, le président Bassirou Diomaye Faye a reconnu qu’il n’a participé qu’à une seule session du CSM depuis son arrivée au pouvoir. Une séance qui lui a permis, selon ses propos, de mesurer l’absence de consensus sur cette question délicate. « Tant qu’il n’y a pas de consensus, ce n’est pas encore le moment pour moi de quitter le CSM », a-t-il déclaré. Cette prise de position traduit une posture de prudence institutionnelle, alors que plusieurs voix réclament une réforme en profondeur du fonctio...

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3 w. ago Absent depuis plusieurs semaines, Barthélémy Dias brise le silence après le discours du Président Diomaye Faye

Après plusieurs mois de silence, l’ancien maire de Dakar, Barthélémy Dias, refait surface avec un message fort et engagé. Dans une déclaration publiée sur ses réseaux sociaux, il invite les citoyens à l’unité et à la mobilisation pour plus de justice et de solidarité. « Citoyennes, citoyens, L’heure est à l’action collective, à la solidarité et à la justice pour tous. Soyons le changement que nous attendons. Ensemble, marchons vers l’essentiel. », écrit-il. Cette sortie intervient après le discours à la nation du président Bassirou Diomaye Faye, marquant ainsi une prise de position qui pourrait être interprétée comme une réponse ou une réaction aux orientations tracées par le chef de l’État. Alors que le gouvernement s’engage dans de vastes réformes politiques et économiques, Barthélémy Dias semble vouloir rappeler l’importance de la mobilisation citoyenne et de la vigilance démocratique. Son message laisse planer le doute sur ses intentions : simple appel à l’engagement civique ou ...

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3 w. ago Observation de la lune, Korité, Tabaski : Imam Kanté tranche définitivement la question pour le Sénégal

Alors que les divergences autour de l’observation de la lune continuent de diviser les Sénégalais à l’approche des grandes fêtes religieuses comme la Korité et la Tabaski, Imam Kanté apporte une réponse claire et définitive. À travers une prise de position argumentée sur SeneNews TV, il propose une solution qui pourrait mettre un terme aux polémiques récurrentes et favoriser une célébration unifiée des événements religieux dans le pays.

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3 w. ago Loi interprétative : Ayib Daffé fustige l’opposition et la société civile lors d’un débat houleux à l’Assemblée

Les discussions autour de la proposition de loi interprétative du député de Pastef ont enflammé l’hémicycle ce 2 avril 2025. Ayib Daffé, président du groupe parlementaire Pastef-Les Patriotes, a exprimé sa profonde déception face à l’attitude des opposants à ce texte.   Lors de sa prise de parole, le leader de la majorité présidentielle a dénoncé le manque d’arguments solides de la part de l’opposition : « Ils n’ont apporté aucun argument juridique, ni cité aucun article démontrant en quoi cette loi interprétative violerait le droit existant. Ce ne sont que de pures envolées lyriques », a-t-il martelé.   Poursuivant son intervention, Daffé a accusé l’opposition d’esquiver le débat de fond : « Tout ce tapage vise à éviter la question essentielle : êtes-vous pour ou contre l’impunité des crimes de sang ? »  Le parlementaire a également déploré l’assiduité défaillante de certains députés lors des travaux en commission, qualifiant leur attitude d’"absentéisme". ...

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