3 d. ago Reconnus coupables : Azoura Fall et Ousseynou Kaïré, condamnés à six mois avec sursis

Ce mercredi 4 juin 2025, le Tribunal des flagrants délits de Dakar a rendu son verdict dans l’affaire opposant les militants d...

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3 d. ago Dernière minute : Azoura Fall et Ousseynou Kaïré reconnus coupables et condamnés

Ce mercredi 4 juin 2025, le Tribunal des flagrants délits de Dakar a rendu son verdict dans l’affaire opposant les militants du parti Pastef, Assane Guèye, alias Azoura Fall, et El Hadji Ousseynou Kaïré. Les deux prévenus ont été reconnus coupables de « discours contraires aux bonnes mœurs », suite à la diffusion de vidéos virales sur les réseaux sociaux dans lesquelles ils proféraient des insultes à l’encontre de l’ancien président Macky Sall et de l’ex-ministre Mame Mbaye Niang. Chacun a été condamné à une peine de six mois d’emprisonnement avec sursis. Les vidéos incriminées ont été diffusées sur les comptes TikTok personnels des prévenus, dans un cadre privé. Cependant, elles ont été relayées publiquement, ce qui a conduit à leur arrestation. Lors de l’audience, les prévenus ont reconnu les faits et présenté leurs excuses. Azoura Fall a expliqué que sa vidéo, datant de neuf mois, avait été diffusée lors d’un live privé sur TikTok, accessible uniquement à ses abonnés. Il a ajouté...

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3 d. ago Tribunal de Dakar : Azoura Fall et Ousseynou Kaïré condamnés à six mois avec sursis

Le verdict est tombé dan... www.pressafrik.com

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5 d. ago Virement mobile par erreur de 70.000 F CFA : Adama Fall condamné à 2 mois avec sursis, pour avoir « oublié » de restituer ce transfert

Le chroniqueur Adama Fall, résidant à Guédiawaye, a été reconnu coupable de vol par le tribunal d’instance de Dakar. Selo...

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5 d. ago Virement mobile par erreur de 70.000 FCfa : Adama Fall condamné à 2 mois avec sursis, pour avoir « oublié » de restituer ce transfert

Le chroniqueur Adama Fall, résidant à Guédiawaye, a été reconnu coupable de vol par le tribunal d’instance de Dakar. Selo...

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5 d. ago Justice : Adama Adus Fall condamné à deux mois de prison avec sursis pour vol de 70.000 FCFA

Adama Adus Fall a été condamné ce lundi 2 juin par le tribunal de grande d’instance de Dakar pou... www.pressafrik.com

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5 d. ago « J’ai eu tort » : Adama Adus Fall condamné malgré ses aveux

Poursuivi pour avoir frauduleusement retiré 70 000 FCFA via la plateforme Wave, Adama Adus Fall, chroniqueur et membre de l’Alliance pour la République (APR), a reconnu les faits devant le tribunal. Il a été condamné ce lundi à deux mois de prison avec sursis et à une amende équivalente au montant détourné. Les faits remontent à plusieurs semaines. Par erreur, la victime avait envoyé 70 000 FCFA sur le compte Wave d’Adama Fall. Ce dernier, au lieu de restituer la somme, s’est rendu injoignable, bloquant toute tentative de contact. Face à cette situation, la victime a porté plainte. L’enquête a permis d’identifier l’auteur du retrait grâce aux relevés de la plateforme, confirmant qu’Adama Fall avait bien encaissé la somme. À la barre, l’intéressé a reconnu sa faute : « Je sais que j’ai tort », a-t-il déclaré. Le parquet avait requis un mois de prison ferme et une amende. Finalement, le tribunal a opté pour une peine plus clémente, le condamnant à deux mois avec sursis.

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1 week ago « Mon intention était de » : Oumar Sow change de discours devant les enquêteurs de la DSC

Placé en détention provisoire, Oumar Sow, ex-conseiller spécial de Macky Sall, sera jugé en flagrant délit pour diffusion de fausses nouvelles, un délit pour lequel il avait déjà écopé de quatre mois avec sursis en janvier 2025. Devant les enquêteurs de la Division spéciale de la cybersécurité (DSC), l’homme politique a tenté de se rétracter sur ses propos tenus dans l’émission Tolluway diffusée sur Seneweb. Il y avait affirmé que le parquet avait décidé d'imposer un bracelet électronique à Ismaïla Madior Fall avant même son inculpation des propos que le journal Libération qualifie aujourd’hui de “minimisés”. Face aux agents de la DSC, Oumar Sow a évoqué un « lapsus », affirmant qu’il voulait parler du ministère de la Justice et non du parquet. Mais les enquêteurs, en possession de ses déclarations enregistrées, l'ont confronté à ces incohérences. Malgré ses excuses et sa volonté de rectifier publiquement ses propos : « J’avais prévu de participer à une autre émission pour corriger ...

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2 w. ago Talibés morts du « mbanta maré » : le maitre coranique condamné

Alors que l’enquête se poursuit sur la mort mystérieuse de quatre (4) talibés à Thiénaba, leur maître coranique, Moussa SECK, a été jugé ce mercredi par le tribunal de Louga. Selon L’Observateur, il a été reconnu coupable de mise en danger de la vie d’autrui et condamné à trois mois de prison avec sursis. Il […] The post Talibés morts du « mbanta maré » : le maitre coranique condamné appeared first on Walf NET.

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2 w. ago « J’ai commis une erreur » : Confession du maitre coranique des quatre talibés décédés à Thiénaba

En attendant les résultats des analyses de l’Institut Pasteur pour déterminer la cause exacte de la mort de quatre talibés à Thiénaba, leur maître, Moussa Seck, a été jugé ce mercredi au tribunal de Louga. Il a été reconnu coupable de mise en danger de la vie d’autrui et condamné à trois mois de prison avec sursis. Le prévenu a avoué avoir ouvert son école coranique sans autorisation, expliquant : « Je voulais juste former les enfants dans la voie religieuse, mais je n’avais pas encore terminé les démarches pour régulariser mon internat. » L’école accueillait 14 enfants, dont deux des siens. Les quatre victimes seraient mortes après avoir consommé un fruit appelé « mbanté maaré ». Le juge s’est interrogé : « Était-ce par faim ? » Moussa Seck a nié : « Ils mangeaient à leur faim. Certains parents payaient jusqu’à 35 000 F CFA par mois. Je contrôlais tout. » Des échantillons d’un produit toxique retrouvé dans les corps ont été envoyés à l’Institut Pasteur pour analyse.

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2 w. ago Mort de 4 talibés à Louga : le maître coranique condamné à trois mois de prison avec sursis

- Le tribunal de grande instance de Louga a condamné, mercredi soir, un maître coranique à troi... www.pressafrik.com

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2 w. ago Les premiers mots du chroniqueur Arona Niang après sa libération (Vidéo)

Condamné à trois mois de prison avec sursis, le chroniqueur Arona Niang a finalement pris la parole, rompant le silence dans une vidéo publiée peu après l’annonce du verdict. Dans un ton à la fois léger et taquin, il a tenu à adresser ses remerciements à tous ceux qui lui ont témoigné leur soutien : « Merci à tous ceux qui ont prié pour moi et m’ont soutenu durant cette épreuve. » Sans s’attarder sur les détails de son passage à la prison de Rebeuss, Arona Niang a tout de même évoqué un changement visible avec une touche d’humour : « Ma tête est désormais rasée », a-t-il glissé, sourire aux lèvres. Une manière de dédramatiser l’épreuve, tout en affirmant son retour avec distance et autodérision. 🚨première réaction d’Arona Niang après sa libération pic.twitter.com/PYcvTiC17G — Maps Cissé (@Cisse_Maps) May 20, 2025

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2 w. ago Diffusion de fausses nouvelles : Arona Niang condamné à 3 mois

Arona Niang a été condamné ce lundi 19 mai 2025 à trois mois de prison avec sursis pour diffusion de fausses nouvelles en lien avec la pandémie de Covid-19. Ce verdict intervient à la suite de déclarations controversées tenues sur la Web TV « Sénégal 7 », qui avaient provoqué un tollé dans les milieux … Cet article Diffusion de fausses nouvelles : Arona Niang condamné à 3 mois est apparu en premier sur Rewmi.com.

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2 w. ago Dernière minute : Arona Niang condamné pour diffusion de fausses nouvelles

Le chroniqueur sénégalais Arona Niang a été récemment au cœur d’une controverse majeure liée à ses déclarations sur la pandémie de Covid-19. Lors d’une intervention sur la Web TV « Sénégal 7 », il avait accusé le personnel médical sénégalais d’avoir délibérément transmis le virus à la population à travers la distribution de masques, les tests nasopharyngés et les vaccins anti-Covid. Ces propos, jugés « diffamatoires, infondés et contraires aux principes éthiques » par le Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS), avaient suscité une vive réaction des autorités sanitaires qui avaient annoncé des suites appropriées à cette affaire. Ce lundi 19 mai 2025, Arona Niang a été condamné par la justice sénégalaise à trois mois de prison avec sursis pour diffusion de fausses nouvelles liées au Covid-19.

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2 w. ago Tribunal de Dakar : Arona Niang condamné à 3 mois de prison avec sursis

Le chroniqueur Arona Niang a recouvré la liberté. Le tribunal des flagrants délits de Dakar l’... www.pressafrik.com

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3 w. ago Affaire Mashala : Hourèye Thiam, la mère de VJ gagne son procès contre les casseurs de son bus

Le verdict est tombé dans l’affaire des violences survenues à Ziguinchor autour du bus de la société privée Mashala. Les sept personnes jugées pour leur implication dans les échauffourées ont été condamnées à six mois de prison avec sursis. Après plus de vingt jours passés en détention provisoire, elles recouvrent ainsi la liberté. Les faits remontent au 22 avril 2025, jour où des tensions ont éclaté entre des transporteurs locaux et les forces de l’ordre. À l’origine du conflit : l’introduction du bus de la société Mashala, accusée de concurrence déloyale par les acteurs du transport local. Le véhicule avait été perçu comme une menace directe pour les professionnels du secteur, déjà fragilisés. Malgré la condamnation, cette décision judiciaire s’apparente à un apaisement dans un dossier qui avait suscité de vives réactions au sein de l’opinion publique. Reste à savoir si cette affaire débouchera sur un véritable dialogue entre les autorités et les acteurs du transport pour éviter q...

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3 w. ago Gérard Depardieu condamné pour agressions sexuelles, la chute d’un monument du cinéma

Le tribunal correctionnel de Paris a rendu ce mardi un verdict aussi attendu que retentissant : Gérard Depardieu a été reconnu coupable d’agressions sexuelles sur deux femmes. Les faits se sont déroulés lors du tournage du film Les Volets verts, et marquent un tournant majeur dans la trajectoire de l’acteur de 76 ans. La justice a condamné Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis, accompagnés de deux ans de privation de ses droits d’éligibilité. Il devra également s’inscrire au fichier national des auteurs d’infractions sexuelles. Ce jugement confirme les réquisitions du parquet et met un terme à plusieurs semaines de débats houleux. L’accusé n’était pas présent lors de la lecture du jugement. Durant tout le procès, il a fermement nié les faits qui lui étaient reprochés, adoptant une posture de dénégation marquée par des déclarations jugées incohérentes. Lorsqu’il a été interrogé sur les agressions sexuelles, il a notamment affirmé ne pas connaître leur définition légale. La...

Culture

3 w. ago Khady Thiam alias « Dabish Pro » obtient une liberté provisoire

Khady Thiam, connue sur les réseaux sociaux sous le nom de « Dabish Pro », a obtenu une liberté provisoire ce vendredi, en attendant son procès prévu pour lundi prochain. Contrairement à certaines informations qui circulent, elle n’a pas été relaxée, selon les informations de 2asmédias. Le parquet a requis une peine de trois mois de prison avec sursis à son encontre, dans le cadre d’une affaire de collecte et de diffusion illicites de données personnelles. En cause : la publication sur Facebook de photos de clientes supposément récalcitrantes, dans un contexte de litige commercial. Lors de son audition, l'accusée a reconnu avoir publié ces contenus, évoquant un contrat de consentement signé par les clientes. Une version qui reste contestée au regard des lois sénégalaises sur la protection des données, lesquelles ne permettent pas l’usage public d’informations personnelles à des fins de pression. Le verdict sera rendu lundi et pourrait marquer un précédent important dans l’encadremen...

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4 w. ago Ouakam : L’appel du muezzin apeure ses enfants, l’électromécanicien choisit une riposte surprenante à l’appel de la prière

Ibrahima Diagne, électromécanicien résidant à Ouakam, a été condamné ce jeudi 8 mai à trois mois de prison avec sursis pour entrave à un culte. En cause : sa manière singulière de riposter à l’appel du muezzin, qu’il assimile à un tapage effrayant ses enfants. Selon Les Échos, l’homme avait pris l’habitude de mettre en marche une machine industrielle au moment de l’appel à la prière, provoquant un vacarme perturbant l’office religieux. Alertée par des fidèles exaspérés, la police l’avait interpellé une première fois. Il avait alors promis d’arrêter, mais a récidivé peu après. Ses voisins, lassés, se sont constitués en collectif et ont porté plainte. À la barre du tribunal des flagrants délits, Ibrahima Diagne a expliqué qu’il n’avait trouvé que cette solution pour « protéger » ses enfants, apeurés par le son du muezzin. Son avocat a plaidé la clémence, affirmant que son client « a agi avec le cœur » et n’avait pas d’autre choix. Le procureur, lui, a demandé l’application stricte de ...

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